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22 août 2010 7 22 /08 /août /2010 22:00

1966

Dans notre nouvelle rubrique "Que ne sont-ils pas devenus", nos consultants se sont penchés sur la mystérieuse histoire du bi-bop.

 

Nous savons très peu de choses sur l'ancêtre du téléphone portable apparu sur le marché de 1993 à 1997.

 

Mitterrand en avait-il un ? Le bi-bop a-t'il favorisé les débuts du gouvernement de Balladur sous la deuxième cohabitation ? Beregovoy se serait-il suicidé (ou aurait-il été tué) envers et contre tout sauf le bi-bop ? Le groupe Rhône-Poulenc serait-il resté public ? Le bi-bop aurait-il influencé le "oui" au mariage de Johnny Halliday et d'Adeline ? Mickaël Jackson aurait-il sombré si vite sans un bon bi-bop ? Laurent Voulzy et Alain Souchon se seraient-il loupés au café de la place de St Pierre Quiberon à 12h15 le 25 août 1994, s'il y avait des bornes installées dans ce petit village breton ? Le tunnel sous la Manche se serait-il construit plus vite ? Véronique Jeannot aurait-elle tant tourné dans les téléfilms sans son bi-bop ? L'année 1997 allait-elle se relever de son deuil conjoint du Club Dorothée et du bi-bop ? Le bi-bop a t'il disparu au profit du G.S.M ? Et je ne vous parle pas de l'attentat à la station RER St Michel ou de l'arrêt de La Roue de la fortune, tant honnie de Liliane Bettancourt.

 

Les questions sont nombreuses. Et les réponses, c'est simple, il n'y en pas une seule. Revenons en images sur cette technologie tout à fait décoiffante. Notre esprit déductif imparable nous permettra peut être de vous guider face à cette marée de suppositions qui vous assaillent.

 

Mon petit coeur se gonfle devant tant de modestie. Le bi-bop, c'était tout d'abord un téléphone qui coûtait tout aussi cher qu'un téléphone portable  actuel sans abonnement (288 Euros). L'abonnement mensuel était quasiment donné (8,31 Euros). La minute était à 0,13 Euros. Le forfait n'existait pas.

 

La qualité de communication était excellente, puisque la liaison radio avec la borne était basée sur la norme CT2 (Cordless Telephone second generation). Alors, qu'est-ce qui n'a pas marché ?

 

Bibop2

 

Le principal problème était de trouver les bornes d'appel. Essayez-vous aussi de les retrouver. Elles n'ont pas été enlevées à Paris, Lille ou Strasbourg, les villes pilotes et leurs banlieues choisies pour porter le réseau bi-bop. Pourquoi ? Sait-on jamais. Si les Allemands nous envahissaient ? Est-ce que le Général de Gaulle n'essaierait pas de faire l'appel du 18 juin sur un bi-bop ? Non, le Général de Gaulle est mort. Mais là, tout de suite, on pense à Lionel Jospin, on pense à Eva Joly, on pense à Daniel Cohn-Bendit. Qui sait si nous reconnaîtrions leur voix au bout du fil. Pendant ce temps, Sarkozy serait certainement en train de déporter quelques Roms.

 

bi-bop

 

Le bi-bop permettait de se connecter à des bornes (poteaux ou tuyaux de canalisation) de faible portée (environ 300 mètres en ville). A Paris, on pouvait trouver une borne à moins de cinq minutes de marche. Lorsque le bi-bop était localisé, on se devait alors de « prendre la ligne » en manipulant le combiné, puis de composer le numéro.

 

Bibop1

 

Pour recevoir des appels, on devait se placer près d'une borne d'appel, se faire localiser et rester à 300 mètres de son poteau. On n'avait plus qu'à attendre qu'on nous appelle. Si on n'était pas là, le poteau prenait le relais, à l'aide d'un service de messagerie. Pas simple. Si on s'éloignait trop de son poteau, sanction immédiate, l'appel était interrompu. Certains essayaient de passer d'un poteau à l'autre en téléphonant. Autre sanction. L'appel était interrompu également. Si son chien levait la patte près du poteau, on risquait même une amende. 

 

Des poteaux, on n'en trouvait qu'en ville. L'appel de la forêt était loin de s'envisager. Pourtant, perdu dans les bois, c'est tellement pratique de joindre quelqu'un pour être secouru. Dans les églises, rien non plus, l'appel de Dieu étant rendu impossible, dans ce silence de mort. Dans les tribunaux, pas d'appel à la vérité réalisable encore. Néanmoins, France Télécom comptait parmi ses abonnés de nombreux professionnels (médecins, coursiers, artisans, etc.) pour continuer à faire tourner le pays.

 

Synthèse : Nous allons maintenant pouvoir répondre à toutes ces questions restée jusque-là sans réponse.

 

Mitterrand en avait-il un ? Peut être.

Le bi-bop a-t'il favorisé les débuts du gouvernement de Balladur sous la deuxième cohabitation ? Non.

Beregovoy se serait-il suicidé (ou aurait-il été tué) envers et contre tout sauf le bi-bop ? Oui.

Le groupe Rhône-Poulenc serait-il resté public ? Non.

Le bi-bop aurait-il influencé le "oui" au mariage de Johnny Halliday et d'Adeline ? Non.

Mickaël Jackson aurait-il sombré si vite sans un bon bi-bop ? Oui.

Laurent Voulzy et Alain Souchon se seraient-il loupés au café de la place de St Pierre Quiberon à 12h15 le 25 août 1994, s'il y avait des bornes installées dans ce petit village breton ? Non.

Le tunnel sous la Manche se serait-il construit plus vite ? Non.

Véronique Jeannot aurait-elle tant tourné dans les téléfilms sans son bi-bop ? J'ai très envie de dire non.

L'année 1997 allait-elle se relever de son deuil conjoint du Club Dorothée et du bi-bop ? Non.

Le bi-bop a t'il disparu au profit du G.S.M ? Oui.

Et je ne vous parle pas de l'attentat à la station RER St Michel ou de l'arrêt de La Roue de la fortune, tant honnie de Liliane Bettancourt. J'ai dit que je ne vous en parlais pas.

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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 00:56
Voilà ! Je voulais être la première à vous l'apprendre ! Non pas que j'éprouvais une certaine culpabilité à pronostiquer sa mort à tout bout de champ de manière un peu névrotique (voir articles précédents) mais enfin merde ! Sim mort, c'est une page qui se tourne ! J'ai les glandes, comme disent tes parents ! Ca montre que la mort peut toucher vraiment tout le monde, à n'importe quel moment ! Ca donne raison à ma prof de biologie et ça fait vraiment mal au coeur ! Sim, c'était le paradigme de la vie entre la vie et la mort ! On pensait tous qu'il était mort et à chaque fois, quelqu'un nous contredisait ! On tournait en rond ! Comme pour Jésus ! C'était presque pénible, de manière imperceptible ! Pendant ce temps-là des gens mourraient de manière ferme et définitive, comme Mickaël Jacskon ou Ted Kennedy, presque sans déborder sur la vie ! Mais Sim, lui il faisait tache ! Il coulait sur la vie après la mort ou l'inverse ! ll n'était déjà plus mort-vivant ! Il était devenu non-mort ! Il voguait pour quelque temps dans l'immortalité, la perpétuité, la survivance ! Maintenant ? J'attends la résurrection, l'insurrection, la ressuscitation ! Sim ! Reviens-nous d'entre les morts ! Ou meurt à jamais ! Enfin !
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26 août 2009 3 26 /08 /août /2009 22:49
Notre grande série de la rentrée commence sur les chapeaux de roue. Vous allez voir ! Son propos est bien de comparer des gens connus comme le loup blanc à d'illustres inconnus dont on se foutait presque éperdument encore hier. Le point de jonction existe ou n'existe pas. Heureusement, il ressort de tout cela que rien n'est incomparable et que parfois, il y a lieu de s'étriper pour savoir qui est mieux, qui est plus sympa, qui est moins moche, qui est moins riche, qui aurait mieux fait de naître ou pas. On le voit, les possibilités interrogatives sont infinies. Commençons par simple : l'inventeur du sparadrah.

Pas un mot sur lui dans Wikipedia à l'entrée "sparadrah". En cherchant au plus profond de mon savoir immense, j'en ai déduit fort heureusement qu'Auguste Lumière, l'inventeur connu comme jamais du cinéma, était celui qui avait crée le premier pansement moderne. Revenons beaucoup en arrière. Durant l’hiver 1914–1915, Auguste étudie plusieurs centaines de plaies chez les blessés de guerre à l’Hôtel-Dieu de Lyon. Au lieu d'aller comme tout le monde sur le front, me direz-vous ! Dans le service du Pr Léon Bérard, alors qu'il est certainement en train de se tourner les pouces dans un fauteuil confortable pendant que la guerre rugit au loin, il est tout de même choqué par la fétidité des salles où les pansements secs ne sont renouvelés qu'une fois par semaine. Devant tant d'injustice, son sang ne fait qu'un tour. Au lieu de faire un peu de ménage à l'hôpital, il se met alors à étudier rageusement quelques centaines de plaies sur 44 chiens. On lirait bien son journal intime à l'heure où on se parle ! Cependant, je vous vois venir, Brigitte Bardot ! Auguste Lumière entrevoyait d'appliquer cette extraordinaire invention à l'homme. Les chiens n'étaient là que pour l'expérience ! Il met alors au point un « pansement-traitement » révolutionnaire : le tulle gras Lumière, semi-occlusif et stérile à base de gazes à mailles de 2 mm imprégnées de vaseline et de baume de Pérou et ce, dès 1915. Certains se pâment dans le fond de la salle ! Quelle impressionante découverte ! L'histoire ne dit pas s'il a gardé les 44 chiens.

Au début des années 20, l’Américain Earle Dickson, un employé complètement inconnu de Johnson & Johnson, eut l’idée de placer une gaze stérile dans un adhésif. Il fit cette découverte extraordinaire sur le dos de sa gourde de femme, Joséphine, réputée maladroite comme pas deux pour le ménage et la cuisine. Elle n'arrêtait pas de se couper ou de se brûler, des fois les deux en même temps. On se demandait même si elle ne le faisait pas exprès mais dès qu'elle se coupait ou se brûlait, elle avait déjà perdu son pansement de simple coton et il fallait lui redonner un nouveau morceau de coton qu'elle rattachait tant bien que mal. Et jour après jour, elle en redemandait parce qu'elle était vraiment très gourde, on vous dit. Ce grand acheteur de coton devant l'éternel se demandait, lui, si tout son stock n'allait pas y passer ! Il pensa être un peu plus tranquille en enveloppant sa femme de matière coton, pour qu'elle tienne en place, qu'elle reste stérile et facilite ainsi la cicatrisation. Ca pouvait plus durer ! Il s'était dit que sinon, il devait changer de femme ! Et que c'était vraiment dégueulasse de manger quelque chose qui avait été préparé par quelqu'un qui était incapable de garder un pansement en place ! La petite histoire dit qu'il utilisa un sparadrah chirurgical, une bande de gaz et serra le tout dedans, au moyen de la crinoline trouvée dans un vieux placard. La grande Histoire avec un grand "H" retiendra qu'il devint soudainement vice-président de Johson & Johnson. Nous sommes toujours sans nouvelles de sa femme depuis.

Auguste Lumière, connu comme jamais : 16/20
Earle Dickson, c'est qui déjà ? : 14,5/20

La semaine prochaine : Connus comme jamais vs Inconnus au bataillon. Battle : Lily Allen/Earl Hass.
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12 décembre 2008 5 12 /12 /décembre /2008 14:56

Après Willy, après Villepin, après Boy Georges, après l'industrie automobile américaine, aidez nous à sauver Herbert Léonard. Achetez ce livre. Environ 5% de droits d'auteurs lui seront reversés directement.

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8 décembre 2008 1 08 /12 /décembre /2008 22:27
Publi-reportage
Je suis né à Strasbourg, en 1945. Je quitte mes études à 15 ans pour me lancer dans la guitare, après m'être cassé le bras droit dans un accident de mobylette. A 19 ans, j'écume tous les bals de la région avec mon groupe. Mais voilà, mon apprentissage mâle doit commencer : je quitte mon groupe pour le service militaire. Je n'ose encore pousser la chansonnette de peur de me faire la tapette du coin. En 1966, je  rejoins le groupe des "Lionceaux". Ma bio en prend un coup. Quel nom de merde ! En 1970, j'aurais dû quitter la chanson. J'ai failli mourir dans un accident de voiture. Après un début de carrière raté, je deviens fort heureusement pigiste puis rédacteur pour un magazine spécialisée dans l’aviation. J'ai l'air malin : je suis devenu spécialiste de l’aviation soviétique durant la Seconde Guerre mondiale... Heureusement, ma carrière est sauvée par des collaborations de haut vol : Julien Lepers, Sylvie Vartan, Julie Pietri. L'amour que je chante est immortel mais je ne passe pas les années 2000. Qui suis-je ? Achetez mes vieux albums. Ca me rapportera au moins un peu de fric*.

* Indice : Comme tous les vieux schnocks, j'ai enregistré un album live à l’Olympia. 
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4 novembre 2007 7 04 /11 /novembre /2007 16:31
Car il nous manque terriblement.

Margarine Plantafain, qui aimerait pas coucher avec l'Oiseau bleu (voila, c'est dit !) mais bon quand même, elle aimerait bien l'inviter à dîner un de ces soirs
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21 novembre 2006 2 21 /11 /novembre /2006 22:55

Jonathan Littell, l'auteur qui a écrit ce livre "Les Bienveillantes", m'a demandé de publier ce témoignage hyper important pour l'histoire de l'Allemagne, d'après lui. Bien sûr, je n'ai pas saisi toute la nature de la chose mais au fond, quand quelqu'un dit un truc, il faut l'écouter. On n'a pas le choix !

J'étais la femme de ménage d'Hitler.

Je m'appelle Birgit Xxxxxxx. J'ai été la femme de ménage d'Hitler, pendant quelques mois. Il m'avait embauché pour m'occuper de son appartement de Munich dans la PrinzregentenPlatz, au numéro 16. Qu'est-ce que j'ai regretté ! C'est ce que j'ai dit au Tribunal de Nuremberg ! Oh, la, la ! Si j'avais su qu'il allait devenir comme ça, jamais j'aurais nettoyé ses toilettes et sa vaisselle. Il aurait eu qu'à tout faire tout seul.

 

Album photo inédit

Là, c'est moi, quand j'ai été embauchée par M. Hitler, à 15 ans et demi. Je gagnais 1 DM de l'heure et je n'avais pas le droit de faire le ménage plus de 6 heures par jour, pour faire des économies.

Nous habitions, enfin il habitait au premier étage. La terrasse faisait de l'ombre au voisin du dessus et ça ne l'a pas empêché d'envahir la Pologne, enfin pas le voisin, celui du dessus.

Le premier aspirateur, en haut en partant de la droite, était son préféré.

 Voici une idée de son intérieur. Avoir mauvais goût était sa seule qualité.

Les ampoules de l'époque projetaient des ombres inquiétantes sur les murs. On aurait dit qu'ils étaient tout sales.

Il n'aimait pas le persil mais adorait le romarin.

Il lissait sa mèche et nettoyait sa moustache en secret avec son liquide de bain de bouche.

Un jour, je lui ai demandé une augmentation. Il m'a offert ce fer à repasser.

Son réveil s'est arrêté mystérieusement quelques heures après sa mort, presqu'un an après, jour pour jour. Depuis, c'est mieux pour tout le monde, c'est sûr.

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21 novembre 2006 2 21 /11 /novembre /2006 01:01

Après de nombreuses délibérations qui ont durées plus de trois mois, nous sommes heureux de vous révéler enfin les heureux gagnants de notre concours "Eh Paulette !". Vous comprendrez bien que les calembours m'arrachent la moitié du cerveau rien que d'en faire. C'est donc la dernière fois que je pratique ce sport dégoûtant !!! "Eh Paulette !" signifie bien "Epaulettes". On fait parfois de bien tristes choses !

Parcourons maintenant rapidement les règles, je dirais même les énormissimes contraintes, de ce concours, avant d'apercevoir ci-dessous, les grands gagnants (oui, ce sont eux) de notre grand jeux concours  :

- Epaulettes équidistantes, par rapport au cou ; 

- Effet bombé pigeonnant ;

- Présence de rembourrage extra turgescent au sens noble du terme ;

- No effet carton ;

- Tenue déconcertante en danse dynamique.

Les trois nominés de l'années 2006 étaient Milli Vanilli. C'est pourquoi nous avons tant tenu à leur dédier cette année 2006 toute entière. Car ce sont eux les grands gagnants !

En guise de cadeaux, et nos détracteurs nous le reprocheront amèrement, nous vous ferons suivre les liens vers ce site, Dailymotion, qui plaît tant aux grands dadets de notre époque qui s'ennuient tellemment dans leur CM2. Si vous ne deviez retenir qu'un clic, je vous laisserait le premier, au moins, pour vous rendre compte à quel point cette victoire n'était pas volée.

http://www.dailymotion.com/visited/search/milli%20vanilli/video/xakr4_milli-vanilli-baby-dont-forget-numb

http://www.dailymotion.com/visited/search/milli%20vanilli/video/xblzb_milli-vanilli-girl-you-know-its-tru

http://www.dailymotion.com/visited/search/milli%20vanilli/video/xja67_milli-vanilli-carefree-tv-ad

Marga.

P.S : Un jour prochain, vous en saurez plus sur la photo mystère contenue dans le début de ce premier clip.

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16 novembre 2006 4 16 /11 /novembre /2006 01:00

Je m'appelle Gisxxx d'Exxxxxxxx. J'étais en maternelle au 37 rue de la Mairie, 88 600 Lepanges sur Vologne (Vosges) en 1984.

 

Il y a deux classes de maternelle, donc j'avais une chance sur deux de me retrouver dans la classe du p'tit. Et sans crier gare, à la rentrée, pif paf, j'y étais ! Je me souviens, la vie facile, les fondues à la cantine, la sieste, le popo, la maîtresse qui nous apprend les animaux, les jeux toute la journée, le tournis, quoi ! Son bureau, il était loin de moi donc c'est un peu brouillé dans ma tête. Je me souviens plus bien. Sauf qu'il avait plein de crayons de couleur et qu'il avait pas l'air de les manger, de loin. Le truc que je me rappelle pas bien aussi c'est que c'était un petit garçon, et  innocent en plus, ça c'est sûr. Ni sauvage ni méfiant. Il m'impressionnait au Boggle et à l'arbre magique. Il était né le 24 août 1980 à 22h50 à Saint Die. Ca m'en souvient bien car j'avais recopié son extrait de naissance, un jour. On s'ennuie tellement quand on est gosse !

 

 

Je me souviens aussi, quand la maîtresse a fait l'appel, le 17 octobre 1984, le lendemain de sa disparition, on savait pas encore qu'il avait disparu. Elle a dit : "Micheline Dax, Aurélien Panisse, Gregory Villemin... ! "  Et on n'a vu personne lever le petit coude pour dire présent ! On s'est dit "Oh p... ! Le p'tit est pô là !". On a paniqué ! "Il aurait pô découché des fois ?" Avec tous les enfants, on s'est regardés dans le fond des yeux d'un air coupable, mais non, personne savait où qu'il était ! On pouvait pas savoir qu'il avait plongé au fond du lac.

 

La police a alors débarqué sur les lieux de la maternelle ! Pas l'ombre d'un indice. Ils ont interrogé tout le monde. Un gendarme m'a même demandé c'était qui la maîtresse. Je m'en souviens comme si c'était hier. Moi, depuis, je pense pas que c'est sa maman puisque la Justice elle a dit que c'était pas possible.

 

http://gregoryvillemin.free.fr/DossierGregory/Document%20site/site%20en%20cours/indexxxxx.html

Le méchant assassin court toujours...

Pour plus d'explications, il ne reste plus que ça : http://www.astrotheme.fr/portraits/STQ5KuM48WMt.htm

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L'idée de ce faux-témoignage, c'est de rendre un triple hommage, d'une part à un copain à moi qui m'a parlé d'une fille qui était dans la classe du petit Grégory pour de vrai et qui m'a donné l'idée, d'autre part à la fille qui n'a rien raconté, malheureusement, enfin et surtout au petit Gregory, tout de même ! Bisous, bisous petit Gregory. On pense à toi. T'étais génial !

 

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20 septembre 2006 3 20 /09 /septembre /2006 01:25
Le contact humain est le véhicule essentiel de la démocratie. Jacques Chirac.

 

Djihèf est très, très réputé pour son moyen de locomotion. On pourrait même dire que Djihèf est son moyen de locomotion. Saurez-vous reconnaître son véhicule ? Pour pimenter le jeu, nous avons pris en photo, tout à fait par hasard, des véhicules en fâcheuse posture, pour bien glousser pendant toute la journée de bureau, planqué derrière sa machine à écrire.

 

Proposition 1 - Si Djihèf était mal garé.

 

Proposition 2 - Si Djihèf n'avait pas le compas dans l'oeil.

 

Proposition 3 - Si Djihèf pédalait dans la semoule.

 

Proposition 4 - Si Djihèf était marié avec la fille en t-shirt vert.

 

Proposition 5 - Si Djihèf n'était plus dans le coup.

 

Proposition 6 - Si Djihèf ne savait pas mettre son casque.

 

Proposition 7 - Si Djihèf jetait tout dans le canal.

Proposition 8 - Si djihèf était bon au crash test.

Qui a peur de gagner son poids en vernis à ongle en répondant par la bonne réponse ?

Je crois que ce test est vraiment intéressant quand on ne connaît pas Djihèf et qu'on s'imagine plein de choses sur lui. Parce que quand on le connaît, évidemment, on devine tout de suite.

 

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